samedi 21 novembre 2009

Troisième phantogorismaphique : le chant du caillou

Tout retourné on a décidé de garder un pied sur terre tout en gardant un œil sur l’océan. La côte s’élève peu à peu et nous offre des spots de fou pour compter les splach et les splouch (et parfois les splich) des cétacés joueurs.

La région dans laquelle on est arrivé est celle de Marguarette River, connu pour ses bons vins et sa côte sauvage déchiquetée. Faute de budget on choisit le déchiquetage, avec de joli caillou face à la mer furieuse.

On y dort, on y grimpe, on y marche et on se moque des surfeurs appareille photo et verre de bon bourru en main héhé.

grmf

c'est ça le printemps dans le bush

Lézard a queue pas finit et à la langue bleue. mais il veut pas tirer la langue même quand on l'insulte le bougre

jolie nid d'abeille dans les falaises

Surfeur qui a reussit enfin a prendre un vague (hic)

Chiens de surfeur qui vont finir pas s'en prendre une de vague

1 commentaire:

  1. Ouh nostalgie, nostalgie, voilà qui me rappelle des week-ends ensoleillés où j'allais à Margaret River faire des dégustations de ptits vins locaux et aussi jouer avec les vagues. Pour les géographes il faut savoir qu'il s'agit d'un spot majeur de surf, en partie parce que la houle n'est pas perturbée par l'île de Rotnest Island... Et les forêts d'Eucalyptus ?

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