lundi 4 mai 2009

Après les suburbs de sydney, le périurbain de Currumbin...

Ben ouais, on est du genre cette semaine à avoir quelques réminiscences géographiques, tel le rototo du bébé après un bon biberon bien mérité! Du coup, on voit de l'espace partout, et on ne sait quoi en faire.
Du coup, attention mesdames et messieurssssssssssss, petite improvisation géographique. Rien de bien providentiel en fait, juste quelques petites observations... La surburb on vous l'a déjà montré, un défillement ghettoisé de zones commerciales et de carrés de maison toute pareilles. Ici, à Currumbin, on découvre un périurbain cotier, qui se prévaut d'être de la "Country", (ni de la surburb, ni de l'outback), en plein boulversement ...
La vallée est située à 25 bornes des villes touristiques cotières. Elle était il y a quelques décénies une vallée d'élevage bovin Dairie (production delait), avec des fermes de tradition queenslandaise (ouiiiiiiiiiiin j'ai pas de photo, bon j'en ai une pas terrible du net). Il y a aussi en haut de la vallée, une production bananière qui date, et on voit ici et là ces petits présentoirs avec les fruits et une caisse sur laquelle il est noté de se servir et de mettre l'équivalent argent dans la dite caisse. Et ça à l'air de fonctionner (!! Il fo qu'on fasse une photo mais... arg!).
Depuis, l'attration touristique et la beauté de la vallée aidant, divers types d'habitats se sont implantés dans la vallée.
  • Il ya d'abord les "leizure farmers", comme les appelle Clare (la nana chez qui on vit), qui se sont trouver une vocation de farmer on ne sait d'où, et qui préfère faire de lavache à viande, que de la vache à lait. Ils ont en général racheté et restauré les fermes anciennes. J'en sais pas plus pour le moment. Mais le concept est rigolo.
  • Il y a ensuite... tadammmm : l'écovillage!!! Soit une dizaine d'hectares, en milieu de vallée, panneau tout dehors sur la qualité de vie offerte par le dit village, constitiué pour le moment d'une quarantaine de maisons. Pour y habiter, il faut être riche, car les dits hectares se vendent à prix d'or pour le concept ( éco) et la situation du village; obéir à une liste de consignes (éco), et aimer décider en communauté Hearth Care. Cet éco village n'est pas des moindres puisqu'il a été élu par je sais pas qui, meilleur écovillage du monde en 2005. Le concept vaut cher et les terres continuent à se vendre et à être vantées. On est loin comme dirait l'Om de l'écovillage pinkfloyd de notre ardèche, mais le concept reste saisissant.
  • Voilà, en fait le mot que je cherchais : le périurbain australien est conceptuel. Car autre exemple et autre type de futur habitat dans la vallée, c'est d'autres dizaine d'hectares à vendre sous la banière : "for another residential Community...". Le périurbain de la currumbin valley est bourrée de référence à la vie collective, quand celui de la France s'attèle au pavillon individuel.
  • Mais la Currumbin valley n'est pas épargnée par le pavillon, puisqu'il y a quelque maisons neuves qui s'enferment déjà derrières des murs de bétons, quand la maison traditionnnelle queenslandaise optait pour conserver un paysage ouvert...
Bref, je sais encore du blabla (blablaaaaaa), mais ce soir, Om est pas là. Suis seule avec Bowie (comme David) le chien, et la blonde s'occupe comme elle peut, même quand elle a les neuronnes un peu emmelés, héhé!

1 commentaire:

  1. différence de vie entrela côte où il faut de l'argent, mais comme partout au monde d'ailleurs, les beaux endroits sont tjs chers! et le fin fond de l'outback! les éco-village sont un peu des ghettos de riches, comme partout d'ailleurs, ce pays est fait pour les gens qui gagnent des sous; quant aus sanisettes françaises,ma chère blonde, c'était quand même il y a longtemps, on a bien progessé

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